Le déséquilibre, la perversité, la maladie sont les maîtres-mots qui définissent notre société actuelle. Un peuple qui manque de tout, qui manque surtout de lucidité. Des pans entiers de la vie des individus furent, pendant longtemps, marqués par l'injustice et la malchance, tant et si bien que les uns deviennent injustes envers eux-mêmes, envers leurs parents, leurs frères, leurs amis, leurs voisins et leurs semblables. Une injustice fortuite, une conduite qui n'est dictée que par la persécution voulue, préméditée à l'instar de celle que l'on subit depuis toujours...
Il semble que nous sommes en pleine jungle, dépourvus de toute faculté mentale, tels des animaux, des bêtes, voire pire. On est prêt à tuer, sinon à meurtrir nos mourants jusqu'à ce qu'ils préfèrent la mort à la vie.
Le vice devient, pour tous, un sport national. On cherche, inlassablement, au-delà de toute valeur superflue, à violer les règles. Un comportement subversif, un dérèglement progressif prend possession de nous, nous submerge, nous terrasse.
J'ai su résister...qui a pu le faire? Puis-je encore le faire?...Je n'en sais plus rien : la maladie est contagieuse et le terreau est d'autant plus fertile pour la germination de pathologies semblables, voire à d'autres bien plus ravageuses...Que le Tout-Puissant rétablisse les âmes tourmentées, qu'Il fasse en sorte que tout cela disparaisse, qu'Il nous épargne des maladies et des malades, qu'ils soient psychopathes ou sociopathes...Qu'Il fasse en sorte de créer un monde plus équilibré et moins malade, plus sûr et moins cruel, plus juste et moins partial...
La situation est désespérée au point que l'on ne requièrt plus que des solutions métaphysiques...Les choses deviennent ce qu'elles sont car les personnes ne sont plus ce qu'elles prétendent être. Tout est décor, mise en scène, simulacre d'un réel accepté, voire espéré...
Les gens, gouvernés par leurs bourreaux, par ceux qui les tiennent en laisse tels des animaux, tels des esclaves, ne veulent plus s'en défaire, mais désirent que l'on voie d'un bon œil leur animosité envers leurs semblables. Ils ne vénèrent plus rien, n'apprécient plus rien, hormis leur égo démesuré et avide de plus d'écrasement de leurs congénères...
Comme toi et moi, chacun, ou presque, est devenu un être polymorphe ne guettant que l'occasion de devenir injuste envers son prochain faute d'agir injustement envers l'humanité tout entière.
Il semble que nous sommes en pleine jungle, dépourvus de toute faculté mentale, tels des animaux, des bêtes, voire pire. On est prêt à tuer, sinon à meurtrir nos mourants jusqu'à ce qu'ils préfèrent la mort à la vie.
Le vice devient, pour tous, un sport national. On cherche, inlassablement, au-delà de toute valeur superflue, à violer les règles. Un comportement subversif, un dérèglement progressif prend possession de nous, nous submerge, nous terrasse.
J'ai su résister...qui a pu le faire? Puis-je encore le faire?...Je n'en sais plus rien : la maladie est contagieuse et le terreau est d'autant plus fertile pour la germination de pathologies semblables, voire à d'autres bien plus ravageuses...Que le Tout-Puissant rétablisse les âmes tourmentées, qu'Il fasse en sorte que tout cela disparaisse, qu'Il nous épargne des maladies et des malades, qu'ils soient psychopathes ou sociopathes...Qu'Il fasse en sorte de créer un monde plus équilibré et moins malade, plus sûr et moins cruel, plus juste et moins partial...
La situation est désespérée au point que l'on ne requièrt plus que des solutions métaphysiques...Les choses deviennent ce qu'elles sont car les personnes ne sont plus ce qu'elles prétendent être. Tout est décor, mise en scène, simulacre d'un réel accepté, voire espéré...
Les gens, gouvernés par leurs bourreaux, par ceux qui les tiennent en laisse tels des animaux, tels des esclaves, ne veulent plus s'en défaire, mais désirent que l'on voie d'un bon œil leur animosité envers leurs semblables. Ils ne vénèrent plus rien, n'apprécient plus rien, hormis leur égo démesuré et avide de plus d'écrasement de leurs congénères...
Comme toi et moi, chacun, ou presque, est devenu un être polymorphe ne guettant que l'occasion de devenir injuste envers son prochain faute d'agir injustement envers l'humanité tout entière.