Les sur-titrés et les sous-titrés sont devenus tous pareils. Ils partagent tous les mêmes idées insignifiantes et colportent les mêmes rumeurs. Mais cela plaît au public. Un public que l'on veut incessamment élargir pour vendre au plus grand nombre. Pour conquérir tous les marchés, il faut cibler toutes les catégories...Tout le monde doit être impliqué.
Or, ceci est inquiétant. C'est dangereux! A force de vouloir plaire à tous, on tombe dans la futilité. On propose ce qui est creux, ce qui est frivole et inconsistant. Au cinéma, dans les chansons, dans les productions littéraires, dans tous arts, un seul mot d'ordre : la bassesse. Il est regrettable ensuite d'accuser l'école de tous les maux au moment même où elle accuse, elle aussi, le coup de la futilité voulue, recherchée, réinventée pour plaire à tous, à la horde, à la racaille, aux personnes comme aux bêtes...aux personnes-bêtes...aux individus à la culture au degré zéro...à ceux qui vous plaisent cher lecteur et qui ne sont rien de plus qu'une variété de nous-mêmes
Or, ceci est inquiétant. C'est dangereux! A force de vouloir plaire à tous, on tombe dans la futilité. On propose ce qui est creux, ce qui est frivole et inconsistant. Au cinéma, dans les chansons, dans les productions littéraires, dans tous arts, un seul mot d'ordre : la bassesse. Il est regrettable ensuite d'accuser l'école de tous les maux au moment même où elle accuse, elle aussi, le coup de la futilité voulue, recherchée, réinventée pour plaire à tous, à la horde, à la racaille, aux personnes comme aux bêtes...aux personnes-bêtes...aux individus à la culture au degré zéro...à ceux qui vous plaisent cher lecteur et qui ne sont rien de plus qu'une variété de nous-mêmes