Les hommes et les femmes sont des êtres complexes, des créatures douées de facultés les différenciant, tout en les rapprochant, de toutes les autres créatures.
Bizarres et imprévisibles, les personnes pensent et repensent aux mêmes choses...Elles se perdent dans leurs pensées et croient enfin à leur destin, tout en refusant d'admettre leur condition : celle d'être là pour disparaître un jour ou l'autre. Ils veulent la pérennité sans pour autant avoir la moindre idée de la raison d'une telle ambition.
Blessants et téméraires dès leur enfance, puisqu'ils meurtissent, voire lacèrement jusqu'au sang les mamelons de celles mêmes qui les mirent au monde, ils nourriraient ensuite les desseins les plus improbables pour leurs semblables.
Si la jalousie, l'appât du gain, la vengeance sont les mobiles les plus en vue de leurs crimes les plus sordides, ils peuvent se montrer encore plus féroces sans aucune raison. Les agressions fortuites, la violence gratuite ne sont pas moins remarquables chez notre espèce.
Ces êtres qui paraissent doux et doués de raison ne laissent guère transparaître les griffes de la bête qui les habite ou qu'ils habitent. Ils sont à l'affût de la moindre occasion de nuire aux autres et de blesser leur prochain.
Qu'il s'agisse de blessures physiques ou morales calculées ou non intentionnelles, les victimes en gardent les traces ou les séquelles qui les motiveront à faire de même à leur tour un jour.
Bizarres et imprévisibles, les personnes pensent et repensent aux mêmes choses...Elles se perdent dans leurs pensées et croient enfin à leur destin, tout en refusant d'admettre leur condition : celle d'être là pour disparaître un jour ou l'autre. Ils veulent la pérennité sans pour autant avoir la moindre idée de la raison d'une telle ambition.
Blessants et téméraires dès leur enfance, puisqu'ils meurtissent, voire lacèrement jusqu'au sang les mamelons de celles mêmes qui les mirent au monde, ils nourriraient ensuite les desseins les plus improbables pour leurs semblables.
Si la jalousie, l'appât du gain, la vengeance sont les mobiles les plus en vue de leurs crimes les plus sordides, ils peuvent se montrer encore plus féroces sans aucune raison. Les agressions fortuites, la violence gratuite ne sont pas moins remarquables chez notre espèce.
Ces êtres qui paraissent doux et doués de raison ne laissent guère transparaître les griffes de la bête qui les habite ou qu'ils habitent. Ils sont à l'affût de la moindre occasion de nuire aux autres et de blesser leur prochain.
Qu'il s'agisse de blessures physiques ou morales calculées ou non intentionnelles, les victimes en gardent les traces ou les séquelles qui les motiveront à faire de même à leur tour un jour.
Ces mêmes créatures ont inventé le bien et les nobles valeurs qui sont, à mon sens, «non humaines» car contre-nature. Ces principes sublimes qui nous ont obnubilé depuis longtemps brouillent les esprits et conduisent inéluctablement à une implacable et profonde déception. Cet idéal qui n'existe pas ou peu et auquel croient les hommes et les femmes car les belles histoires, celle qui nous rendaient joyeux, sont celles qui finissent bien, celles qui se terminent sur une note positive, celles dont la fin coïncide avec le triomphe du bien sur le mal...C'est un leurre qui dénote encore plus à quel point nous sommes cruels. Comme s'il ne suffisait pas que le mal soit omniprésent, il fallait nous faire croire que le bien existe et que les forces du bien finissent par vaincre les pires maux qui sévissent partout.
Chez nous, on commence et finit des journées pénibles, et tout compte fait, malheureuses, par des salutations où le bien et ses substituts (lumière, roses...) sont les mots d'ordre. C'est certain: plus cynique que ça, ça n'existe pas! Ou pire que ça, ça serait la mort comme disait l'autre qui a fini par nous crier que c'est formidable! C'est fort minable! Ne l'admettez-vous pas?
Chez nous, on commence et finit des journées pénibles, et tout compte fait, malheureuses, par des salutations où le bien et ses substituts (lumière, roses...) sont les mots d'ordre. C'est certain: plus cynique que ça, ça n'existe pas! Ou pire que ça, ça serait la mort comme disait l'autre qui a fini par nous crier que c'est formidable! C'est fort minable! Ne l'admettez-vous pas?